Page:Lefèvre-Deumier - Le Clocher de Saint-Marc, 1825.djvu/112

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St. XXXI.

Comme le pâtre assis an sommet des montagnes, etc.

Corne assiso talvolta il villano
Sulla porta del chcto abituro,
Segna il nembo che sceode lontano
Sovra i campi che arati ei non ha ;
Co.si udresti ciascnn che sicnro
Vede lungi le armalc coorti,
Raccontar le migb’aja de* morti,
E la pietà dell’arsc città.

A. Mahzohi. Carmagnola.

St. XXXII.

J’ai vu souvent, poussés d’une ardeur famélique.

Les chasseurs africains creusent autour de leur camp des fosses profondes qu’ils recouvrent de rameaux et de feuillage. Ce sol léger s’écroule sous le poids du tigre ou du lion qui vient les assiéger, et l’animal féroce va périr au fond in gouffre sur des troncs d’arbres affilés. Voy. les voyages de Le Vaillant.

St. XXXVI.

Ses navires vengeurs qui s’indignaient du cable.

Tum littore fnnem
Diripere, eicussosque jubet laxare rudentes.

Tentamusque viam et velorum pandimus alas,
Virgile.