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St. XL.

Et comme Pellico, etc.
Silvio Pellico, jeune poète plein de verve et d’enthousiasme, de grace et d’élégance, auteur des deux tragédies UtEuphémio et de Francesca di rimini. Convaincu d’aimer sa patrie et la liberté, soupçonné de liaisons avec les Carbonari, on l’enferma dans une forteresse, d’où n’ont pu le tirer ni les prières de ses amis, ni sa vertu, ni l’aspect douloureux d’un brillant génie, qui succombe faute d’air et d’espace. Destiné peut-être à rappeler Le Tasse par ses talents, il le rappelle par ses malheurs.

Nihil securius est malo poeta.

Martial.

St. XLI.

Dans nne sphère étroite et qu’il ne pent quitter.
When empire in ils childhood (irsl appears,
A watchful fate o’er-sees its teuder years ;
Till grown more strong, it thrusts and stretchcs ont,
And elbows ail the kingdoms round about :
The place thns made for its breathing free,
Tt moves again for ease and luxury :
’Till, swelling by degrees, it has possest
The greater space, and now crowds up the rest.
When, from bchind, there starts some petty state,
Aud pushes on its now unwieldy fatc :
Then, down the precipice of time it goes,
And sinks in minutes, which in ages rose.

Drydeh, conq. of gran p. il.

La comparaison de l’écureuil appartient à lady Morgan. Flor. Macctrthf. Tome H,