Aller au contenu

Page:Lefèvre-Deumier - Poésies, 1844.djvu/150

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Mais le frêle vainqueur, martyr de la victoire,
N’ira pas, dans les bois, en raconter l’histoire ;
Il tombe, et sur le luth, trop tard silencieux,
Faible et muet, il meurt comme un son gracieux.

Janvier 1817.