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Page:Lefèvre-Deumier - Poésies, 1844.djvu/200

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Et l’on verra bientôt, poursuivant leur carrière,
Nos astres fraternels marier leur lumière.

MERCURE à part, et cherchant des yeux ses mains pour signer.
A signer cette charte enfin je me soumets ;
Mais que je sois pendu, si j’éclaire jamais !