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Page:Lefèvre-Deumier - Poésies, 1844.djvu/260

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De leurs pas libertins couvrant la pétulance,
Au seuil de leurs forêts se montrent à la fois ;
La pudeur, qui gémit, sent défaillir sa voix.
Heureuse est la vertu des Dryades craintives,
Dont l’écorce a caché les terreurs fugitives !
Janvier 1819.