Page:Lefèvre-Deumier - Poésies, 1844.djvu/344

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La nature, en un mot, pleine de mon veuvage,
Aura, pour m’en parler, sa langue, et ton image.
N’attends pas que mes pleurs aient tout pétrifié :
Tu m’as pris mon repos ! mais rends-moi, par pitié,
Rends-moi mes beaux soleils du soir et de l’aurore :
Rends-moi mon âme enfin, pour te bénir encore.