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Page:Lefèvre-Deumier - Poésies, 1844.djvu/36

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ne crois pas y avoir menti. Si j’ai osé y toucher, à cette lyre, que le génie consacre, j’ai pu manquer de force et d’habileté ; je ne l’ai pas du moins profanée. On peut me reprocher mon audace ; mais on ne m’accusera pas de sacrilège.

L’Abbaye du Val, 3 août 1843.