Page:Lefèvre-Deumier - Poésies, 1844.djvu/632

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On peut voir, en lisant mon psaume de vengeance,
Par quel chemin farouche on marche à l’indulgence ;
Mais que mon dernier vers, par la raison dicté,
S’il n’en est un d’amour, en soit un de bonté !
La justice le veut : mon bonheur me l’ordonne ;
Quand on cesse d’aimer, il faut bien qu’on pardonne.