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556 fieibnig an Wicaiie.

Car les guarnisons de Deynse et de Dixmude faisoient presque une armée. Je m’étonne qu’on s’amuse tant à écrire contre les Quietistes. À force de les combattre, on les augmente. Vidi ego jactatas mota face crescere flammas., Je suis avec zèle etc.

«

IX.le*) compte pour un malheur tres grand qu’un ami est cause par son changement que j’ay manque si longtemps à mon devoir a vostre égard aussi bien qu’a Pegard de Monsieur le Président Boisot. Il alloit en llollande `et aux’ Pays-Bas espagnols, et me marquoit qu’il iroit de Bruxelles in Paris, avec un passeport qu’il trouveroit moyen d’avoir. Cela me porta a luy confier un paquet pour vous, où estoient quelques exemplaires des anecdotes de la vie du pape Alexandre VI, de la maison de Borgia, père du fameux Duca Valentino, que j’ay fait imprimer sur un manuscrit d’un homme de son temps, qui estoit dans des emplois considérables à Rome, mais Allemand d’origine, comme je crois vous avoir déjà marqué autres fois..Py avois aussi mis une lettre pour Monsieur le Président Boisot et vous y avois supplie, Monsieur, de faire tenir cettelettre à M. le President avec uu des’ exemplaires. Mais comme je me tenois fort en repos sur le soin que cet ami prendroit, je viens d’apprendre bien lard qu’il a changé de dessein et de route. Mais je ne manqueray pas d’une autre occasion, et cependant j’ay voulu vous supplier, Monsieur, de faire tenir la cy-jointe à Mons. le Président, ou je marque les mêmes choses, et de contribuer a m’excuser et a plaider pour mon innocence.

Mons. de Spanheim et Mons. Morel ne sont pas des plus presses à

répondre. Et on ’doit excuser M. de Spanheim, qui est accablé par des soins publics et littéraires, et Mons. Morel postpose tout a l’empressement de pousser son grand ouvrage. Cependant j’ay eu une lettre de Mons. Spanheim, il n’y a pas longtemps, avec un exemplaire du premier volume de son Julien. La plus grande partie de ses notes sera dans le second

  • ) @idée @dmibeu fieibnigene ift, mie ãoufiu bemertt, unter ben *Bariier ilîanuicripten

norbanben, aber obne Sbatum. îluf ber iãibtiotbel px bannober finbet fid ; ein iirudfiffid bielefi êîdpreibeuã aui ber fllildfeite eineã iãrielefl non ilîicalle, batirt, ,30 avril 1696“.