Page:Leibniz - Die philosophischen Schriften hg. Gerhardt Band 3.djvu/38

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Aeußerung darüber zu veranlassen. Bayle's Antwort ist unter den Leibnizischen Manuscripten nicht vorhanden; aus dem folgenden Briefe Leibnizens (V) kann man jedoch ersehen, daß Bayle die Leibnizischen Ideen über Kraft und Bewegung einer Kritik unterworfen hatte [1]. Leibniz nimmt deshalb Veranlassung, den Gang seiner Untersuchungen über die Natur der Kraft und die Bewegung der Körper ausführlich darzulegen.

Die zweite Ausgabe von Bayle's Dictionnaire, die im Jahre 1702 erschien, gab Leibniz eine neue Veranlassung, an denselben eine Mittheilung zu machen. Bayle gestand im Artikel Rorarius, daß durch Leibnizens erste Erwiderung auf seine (Bayle's) Ausstellungen die Schwierigkeiten mehr aufgeklärt wären, und man würde die Hypothese der Harmonie préétablie der Cartesianischen vorziehen können, wenn die Möglichkeit (possibilité) der ersteren nachgewiesen wäre; aber diese Möglichkeit sei schwer zu begreifen. Leibniz ließ seine Entgegnung zugleich mit dem Schreiben VIII durch die Vermittelung de Bolder's an Bayle gelangen; dieser aber, wie aus de Bolder's Brief an Leibniz

  1. Leibniz an des Maizeux 8. Juillet 1711: Je vous suis fort obligé de l'honneur de votre Lettre, et de la communication que vous y joignes. On m'a sommé de votre part, qand j'étois à Berlin, de vous envoyer les Lettres que je pourrois avoir eues de M. Bayle. Mais les trois ou quatre, que j’ai eues de lui, n’étoient presque que relatives à d’autres Ecrits. Ce qui fait que je ne les ai point gardées avec soin, et que je ne les saurais retrouver aisément, quand elles seraient encore dans le tas de mes vieux papiers. Je me souviens que dans l’une de ses Lettres il croyoit que je concevois la force que je donne aux Corps, comme quelque chose qui y pouvoit être renfermé, lorsqu’ils sont même en repos. Mais je lui marquai, que chez moi la force est toujours accompagnée d’un mouvement effectif, à peu près comme ce qui se passe dans l’Ame, est toûjours accompagné de ce qui y répond dans le Corps. Aussi un état momentané d’un Corps qui est en mouvement, ne pouvant point contenir du mouvement, qui demande du tems, ne laisse pas de renfermer de la force. — Auf die Briefe Bayle's kommt Leibniz in einem späteren Schreiben an des Maizeux, Hanover ce 21. d'Août 1716, zurück: Je dois vous re¬ mercier de ce que vous prenez en main mes intérêts. J’ai eu autrefois l’honneur de quelque commerce avec vous, tant du vivant de Monsieur Bayle qu’après sa mort, quand vous m’avçz demandé si j’avois quelques Lettres de cet excellent homme qui mériteraient d’être publiées. Mais je vous avois répondu, Monsieur, que celles que j’avois reçues de lui, avoient été très courtes, et n’avoient été que des aveus de la réception de mes Ré¬ ponses & ses Objections; où il avoit répliqué par après dans ses Ouvrages, excepté ma derniere Réponse, à laquelle je ne sai s’il a répliqué, car il ne s’en est rien trouvé dans ce qu’il a fait imprimer depuis . . .