Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/117

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iio I.Epistre de S. Paul fe que cinq paroles dont j’aurois l’intelligence, pour eninstruire aussy les autres, que d’en dire dix mille en une langue mcomûie. zo Mes Freres, ne ibyez point enfans en ce quiest de l’esprit^ de la fagefle ; mais foyez en- fans en innocence, ôtayczEesprit (^hùgeSc des hommes pafkits. flâï.ig. 31 II est dit.dans l’Ecriture: Jeparleray àcc » « • peuple en des langues étrangères & inconnues ‘j & après cela même ils ne m’entendront point, dit le Seigneur. IL Ainfy la diverfité des langues est un figne non pour les fidelles, mais pour les infidelles ; & le don de prophétie au contraire n’est pas frincpsdement pour les infidelles, mais pour les fidelles. ij Quelî toute une Eglise estant aflcmblée eo un lieu, tous parlent divérfes langues, & que des ienorans, ou des infidelles entrent dans cette aflembléc, ne diront-ils pas que voüs estes des infcnfcz î Z4 Mais si tous prophctifent. & qu’uu infi- delle, ou un ignorant entre dans vostre aflèm- bléc, tous le convainquent, touslejiçent. i y Et ainsy ce qu’il y a de plus caché dans fon cœur, est découvert ; de forte que se proster- nant le vifàgc cont re terre il adorera Dieu, rcn- daut témoignage que Dieu est véritablement parmy vous. §. z. Vfer de tous les dons pour édifier. Dieu efi m Dieude faix, non de trouble. Silence des femmes. 16 Que faut-il donc, mes freres, que vous 6 ex. comme U a fait par | tieMmeiHsemvertilejJuifi. (u Apossres, te qui n’apue • Digrtized by