Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/340

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

333 EPISTRE catholiqjje D E SAINT JACQUES. Le s Fpiflres fiavantesfm ffpelUes, ou Canoniques comme appartenantes au Canon ia VEeritme auffibien que celles ie S.Taul, fipro- fefant les réglés prineipsUes de la piet i chrefiieime s OH Catholiques, parce que si on en exeffte les deux petites de S. Jean, les autres ne fm pas écrites feulemenraux fidelles d’une ville, cmttse celles de S. Vatd aux Corinthiens ou sutx Ephefiens, mais aux chrefiiens differfez dans tout le monde. L’in- tmion generale de S.Jstcques, de S. Tierre, de S. Jean si de S.Jude qui les m écrites a efié comme remarque S. Astgufi’m au livre de lafoy si des oeuvres chapitre 14. d’établir cette vérité j Que, la foy frns les oeuvres ne nous peut fruver. Car éUs le commencemm de tEg^e les difciples de Simonie magicien, si depuis lesNicolaïtes s’ef- forcerm d établir cette erreur ; qu’il fuffisoit de croire pour efire fauvé sans se mettre en peine de joindre k Ut foy les bonnes oeuvres. Et parce que S. Etud ettfàgrte souvent qu’on jufiifié par la foy, ces heretiques corrornpoim le fens de ces paroUs, prétendant que t Apofire ne àemandoit qut Ut foy feuU sans Us oeuvres ; quoiqu’il ajfsere, selon la remarque de S. Astguftin, qsu lapliugrsmde foy fi U martyr0 mime neluyforviroit de rien fans r iiij «