534\tE P I s T R. 8 la charité, si %8’ilmette Uate U reUgim à avoir me foy mnmorte, mait vivante si agiffante fetr U charité. C’est ce que S. Jacques établit ft fîrte- meat dant cette Epistre ; ept’il sf pelle la fey fans les œuvres, la foy des démons, llparle aujfy en divers endroits contre let faux doBeurs qui affe- Boient de gouverner les attires, qui sùmoient Ut diffutes, si qui avoient une fageffe tharnelU pleine de fiel si de jaloitfte. Il monjhe suijjÿ excellemment combien il est difficiUdt reprisner la langue, qu’il rffrejènte eomme plus iangereufe que U feu, plus mortelle que U poifon, plus indonfftaiUque Us bestes Us plus farouches. Il établit tous Us fondement de la fageffe, delacharité.dethumilité, fi de la patience qui doit paroistre dans la vio des ehrefiiens. L’auteur de cette Epistre ri efi pat S.Jac- quet fils de Zebedée, fiere de S. Jean -, maie S. Jacques appellé le Mineur fiere de VApejhe S. Jude ; fiere .c’estadireparentdenejireSeigneur, Evêque de Jerufàlem, qui dans U ConciU des Apojhet parla après S. Tierre i que S. Taul appelle une des colomnes de l’Eglise ; si dont la vie a paru fi fainte, que Jofeph croit que la ruine dejeruja- Um est arrivée pour punir Us Juifs de F avoir fait mourir. Chapitre I. §. I. Joie dans Us maux. Patience mene à üpetfeBion. Demander la fageffe. Prier avec foy. 1 T A c QU E s serviteur de Dieu & de nostre
- 1 SeigneurjEsusCHRis r, auxdou-
Ee Tribus qui fout difperfées hors la Judée \ falut. «
