Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/342

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r D* s. Jacques, Chap.I. jjy 2 “T Mes freres, confiderez comme le (ùjec t Un S. d’une extrême joie les diverfes affliâions qui Martyr vousarrivent, 3 fçachantqucTcpreuve de vostrefoy produit la patience. 4 ’ Or la patience doit estre parfaitte dans fes oeuvres si dans ses efrèts ; afin que vous foyez parfaits & accomplis en toute maniéré, & qu’il ne vous manque rien. 5 Que si quelqu’un de vous manque de fageffe, qu’il la demande à Dieu qui donne à tous libéralement sans reprocher\t&la(â- gellê luy fera donnée. 6 Mais qu’il la demande avec foy frns aucun Matth. doute. Car celuy qui doute est semblable au flot 7’7- de la, mer, qui est agité & emporté çà & là par la violenccdu vent.\t14. 7 II ne frut donc pas que celuylà s’imagine £*n-9* qu’il obtiendra quelque chose du Seigneur. g L’homme qui a l’esprit panagé estincon- 14- ftant en toutes ses voies. 5.1.\tHumbles élevez, riches abbaij/èz. Souffrance heureufi. Lenteur a parler fiàfe mettre en colere. 9 Que celuy d’entre nos frètes qui est d’une condition baffe, se glorifie defr véritable élévation. 10 Et au contraire que celuy quiest riche, yé cvtÿiwk dans son véritable abbaillement, par- Eali. 14 ce qu’il pafièra comme la fleur de l’herbe. 11 Car comme au lever d’un soleil brûlant l’herbe se feche, la fleur tombe, & tout ce qui t.Pier.i, r V 14- t /. Or la patience produit une ouvre patâicce.\t- Digrtized by