Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/348

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DI s. jACQuï*, Chip.III. J4Ï 9 ly Rahab aulTy cette fèmine débauchée nejtf.z, y, fut-elle pas deméme justifiée par les oeuvres en recevant chez elle les ripions dt Jc/tié, Sc les renvoyant par un autre chemin î %6 Car comme le corps est mort lorfqu’il ril fans ame ; ainsy la foy est morte lorfqu’clleest fans oeuvres. Chapitre III. 5.1.\tFeril det charges. Langue fiurcedemaux. FruitssemblsMes à F arbre. I\tEs\tFreres\t,’nevouscmprelïèz-W«»rft. point de devenir les maistres des au- *5- *• très, fçachant que cette charge vouscxpofêàua jugement plus fev ere. 1 Car nous faifons tous beaucoupde fautes. Que R quelqu’un ne frit point de fautes en parlant c’est uif homme parfrit, & il peut tenir touc le corps ei^bride. 3 Ne voyez-vous pas quenous mettons des mords dans la bouche des chevaux afin qu’ils nous obeïflènt, & qu’ainsy nousfrifons tourner tondeur corps où nous voulons ? 4 Ne voyez-vous pas aussy qu’encore que les vaiflèaux foient si grands, & qu’ils foient poufr. fez par des vents impétueux, ils font tournez néanmoins de tous collez avec un très petit gouvernail, selon la volonté du pilote qui les conduit? y Ainfÿ la langue n’est qu’une petite partie du corps ; & cependant combien se peut-elle van- t (Ht. gardez-vous de l’ambition qui 6it que plu- fieius veulent ribe mailhes. l. ne devenez point plu- fients maitbes. «