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Tons les petits grillons, frileusement blottis,
Qui, le jour de Noël, avaient le cœur en joie,
Ne voyant plus, l’hiver, de sarment qui flamboie,
Pour un autre foyer tristement sont partis.
Tons les petits grillons, frileusement blottis,
Qui, le jour de Noël, avaient le cœur en joie,
Ne voyant plus, l’hiver, de sarment qui flamboie,
Pour un autre foyer tristement sont partis.