Page:Lenau - Gedichte, volume 2, 1857.djvu/212

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All ihre Pulſe beben,

In ihm, in ihm zu leben, Von ihm dahinzuſinken, Den Todeskuß zu trinken.

So lauſcht und rauſcht die Seele, Daß Gott ſih ihr vermähle, Fühlt ſhon den Odem wehen, In dem ſie. wird vergehen.


V.

Comme Merlin
Je veux pénétrer la forêt ;
Ce que les tempêtes emportent,
Ce que le tonnerre roule,
Et les éclairs désirent,
Ce que les arbres disent,
Quand ils craquent,
Je veux comme Merlin le comprendre.

La jouissance de l’orage monte en lui
Et Merlin jette son vêtement
Dans la tempête,
Afin que les vents caressent,
Les éclairs purifient
Sa poitrine nue.