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Page:Leneru - Les Affranchis.djvu/172

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LES AFFRANCHIS

Philippe.

Vous m’en voulez beaucoup, Hélène ?

Hélène.

Non. Seulement je sens que tout ce que je voudrai désormais, je le voudrai mortellement, que je vivrai comme on se venge, et qu’avant que je ne sois tout à fait morte on ne touchera pas à moi !

Philippe.

Si vous croyez prendre le moyen de ne pas souffrir…

Hélène, rude, pressentant vaguement ce qu’ils discutent.

En tout cas, je ne souffrirai pas volontaire-