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ACTE 2, SCÈNE 8

ment. Voyez-vous, je sens que jamais, jamais, je ne pourrai faire un sacrifice sanglant aux seules fins administratives et pour le bon ordre de la communauté.

Philippe.

Tant pis ! Car il faut tous les jours des sacrifices sanglants (très troublé)… aimez la morale, Hélène, aimez-la comme un sport noble et dangereux, qui nous rend plus beaux les uns pour les autres, un prétexte à mériter plus d’amour.

Hélène, ironique.

Et à en moins recevoir ?

Philippe, exaspéré.

Mais pour l’amour de Dieu, comprenez…