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DUVIQUET

château. Il quittait l’armée sans esprit de retour^[1]. On verra par la suite de ce récit que, en abandonnant le droit chemin, il allait entraîner ceux dont il devenait l’hôte à de désastreuses aventures et se vouait lui-même au plus tragique destin.

↑ Le dossier de Duviquet n’existe pas aux Archives du ministère de la Guerre. Le contrôle des officiers de la 104^e demi-brigade (ex-184^e) ne s’y retrouve pas. Dans sa brochure Les Chouans, M. de Kerigant écrit que l’officier envoya à ses chefs sa démission ; mais on a déjà dit avec quelle méfiance on doit consulter cet ouvrage sur tout ce qui n’est point souvenir ou tradition de famille.

[1] Le dossier de Duviquet n’existe pas aux Archives du ministère de la Guerre. Le contrôle des officiers de la 104^e demi-brigade (ex-184^e) ne s’y retrouve pas. Dans sa brochure Les Chouans, M. de Kerigant écrit que l’officier envoya à ses chefs sa démission ; mais on a déjà dit avec quelle méfiance on doit consulter cet ouvrage sur tout ce qui n’est point souvenir ou tradition de famille.

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