Aller au contenu

Page:Leopardi - Poésies et Œuvres morales, t1, 1880, trad. Aulard.djvu/274

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

vages, les antres et les forêts tranquilles, notre audace invaincue les a ouvertes : elle enseigne à ces peuples qu’elle viole un ennui étrange, des désirs ignorés : elle chasse de son dernier séjour la félicité, qui s’enfuit toute nue.