Page:Leopardi - Poésies et Œuvres morales, t2, 1880, trad. Aulard.djvu/101

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Mais les éclairs étaient encore si ardents devant sa vue, qu’à la fin l’épouvante l’arrêta et le cœur vint à lui manquer.

Elle se retourna. À ce moment, les éclairs s’éteignirent, l’air redevint obscur, la foudre se tut et le vent s’arrêta.

Tout se taisait ; et elle, elle était changée en pierre.