Page:Lepelletier - Émile Zola, 1908.djvu/428

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recevant enfin le salaire de bonheur qu’il est en droit d’attendre, et qui doit lui être versé comptant, sur la terre, de son vivant, comme un dû ferme, et non en manière d’aumône, ou sous la forme d’une traite illusoire payable à la caisse d’un chimérique banquier céleste.