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Page:Leroux - La Poupée sanglante, 1924.djvu/179

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LA POUPÉE SANGLANTE

Douzième et dernière lettre. — « J’ai la preuve… je vous l’envoie ! et maintenant accourez ! car il va me tuer si je ne meurs pas assez vite !… »

À ce dernier griffonnage que lui apporta la poste, un petit paquet recommandé était joint, dont Christine fit sauter les cachets avec une angoisse, une inquiétude dont elle ne se défendait plus…