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Page:Leroux - Le Château noir, 1933, Partie 2.djvu/190

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LE CHÂTEAU NOIR

Quel était donc ce mystère qui l’avait ainsi transformée ? Mystère insondable du cœur d’Ivana ? ou quelque chose de pis encore ? Par quel miracle, cette héroïne apparaissait-elle tout à coup traîtresse à son amour et à son pays ? Allons ! Allons ! Rouletabille, ne pleure plus ! Échappe aux flammes de la Karakoulé et cours ! cours vite sur la piste de guerre, derrière Ivana qui t’échappe ! et surtout… surtout, ne perds pas en chemin, avec ton cœur, le bon bout de ta raison !… Suis sans défaillir ta capricieuse fortune, va jusqu’au bout du mystère, jusqu’à la conclusion de cette étrange histoire de guerre et d’amour, jusqu’à tes étranges noces, ô Rouletabille !



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