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Page:Leroux - Le Fauteuil hanté, Lafitte, 1900.djvu/177

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le ciel, le Sacré-Cœur qui portait tout là-haut sa croix dans la nue, et par une liaison d’idées assez compréhensible, il pensa à tous ceux qui portaient leur croix sur la terre, sans la montrer. La situation n’avait jamais été plus terrible pour un secrétaire perpétuel. Héroïquement, il prit sa résolution. Il se retourna vers l’homme qui ne savait pas lire :

— À bientôt, mon cher collègue, dit-il.

Et il descendit sur le trottoir ouvrant son parapluie, bien qu’il ne plût point. Mais il n’en pouvait plus, il se cachait comme il pouvait. Il s’en alla par les rues, cahin-caha.