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Page:Leroux - Le Fauteuil hanté, Lafitte, 1900.djvu/224

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Il y courut…

— C’est quelqu’un qui sera tombé par cette trappe et qui se sera brisé les jambes…

M. Patard se pencha au-dessus de la trappe : les gémissements à nouveau s’étaient tus.

— C’est incroyable ! dit M. le secrétaire perpétuel… Il y a là une pièce que je ne connaissais pas… comme un second laboratoire sous le premier…

Et il descendit encore des marches, en examinant toutes choses prudemment, autour de lui.

Le laboratoire du dessous, comme celui du dessus, était éclairé par des papillons de gaz. M. Patard descendait avec précaution. M. Lalouette, qui regrettait décidément sa visite au grand Loustalot, arrivait.

Dans ce laboratoire souterrain, il y avait la même disposition que dans la pièce de dessus, pour toutes choses. Seulement toutes ces choses étaient dans un grand désordre, et en plein service, en cours d’expérience…

M. Patard cherchait. M. Lalouette ouvrait de grands yeux…

Ils n’apercevaient toujours personne…

Soudain, comme ils s’étaient retournés vers