Page:Leroux - Le Parfum de la dame en noir.djvu/376

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Je lui demandai encore pardon, les larmes aux yeux, mais il ne voulut me pardonner que lorsqu’il m’eut forcé à lui tirer la barbe, laquelle ne me resta point dans la main…

Alors, seulement, il me permit d’aller me recoucher, ce que je fis en me traitant d’imbécile.