Page:Leroux - Le Parfum de la dame en noir.djvu/78

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l’ordinaire de sa sauvagerie et de son manque de confiance avaient pris sur ce papier un tel accent de douleur que Rouletabille n’aurait pas pu s’y tromper, même si la fille du professeur Stangerson avait oublié de lui confier, dans une phrase finale où sanglotait tout son désespoir de mère, que « l’intérêt qu’elle lui portait venait moins des services rendus que du souvenir qu’elle avait gardé d’un petit garçon, le fils de l’une de ses amies, qu’elle avait beaucoup aimée, et qui s’était suicidé, « comme un petit homme », à l’âge de neuf ans. Rouletabille lui ressemblait beaucoup ! »