cause, ne voulant être interrompu dans
ce délicieux passe-temps. Nous nous rendons
mutuellement le service de nous
débarrasser de nos vêtemens, et quand
il ne reste plus à chacun de nous que
sa chemise, nous nous mettons sur le lit et
là commence l’œuvre d’amour.
Mon amant relevant ma chemise jusqu’au-dessus du nombril, met à découvert mes appas les plus secrets, et promenant ses mains et ses yeux sur deux tétons fermes, ronds et blancs comme l’albâtre, sur deux cuisses faites au tour, il me renverse mollement, je reste appuyée sur le coude gauche, laissant ainsi toute liberté à ma main droite d’agir et de saisir l’instrument de mon cher D......, qui s’est mis à genoux à mon côté. Quel plaisir j’éprouve à presser ce membre charmant entre mes doigts, que je fais doucement glisser du haut en bas, tantôt coiffant tantôt découvrant sa tête rouge et ver-