Page:Les Amours, galanteries et passe-temps des actrices, 1833.djvu/46

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ma chère Eléonora, mets-toi à genoux là-dessus, mais tout-à-fait à genoux et de manière que tes pieds quittent terre ; maintenant appuie tes deux mains sur le dossier, baisse la tête et ne t’occupe plus de ce qui se passera derrière toi. J’obéis ponctuellement à son injonction, et je sentis qu’il me troussait doucement les jupes et la chemise. — Je veux jouir de la vue de tous tes charmes ; ô ma chère Eléonora ! ô dieu, quelles fesses ravissantes, continua-t-il, pourrai-je jamais assez les baiser et les rebaiser, et ce cul divin ! Ô tiens, vois-tu, ma bonne amie, je n’ai jamais eu de goût pour la sodomie, mais c’est un goût que je pourrais bien prendre si j’avais souvent un si beau spectacle sous les yeux. Oh ! quelles cuisses fermes et rebondies, et ce con aux lèvres roses et vermeilles, et il y fourrait son doigt, j’étais toute en feu. — Ne me fais pas languir davantage, mon cher ami, lui dis-je, oh ! mets le moi, je t’en prie. Cé-