Confucius. À cet effet, passant une main
derrière mes fesses qui étaient à découvert
(car le polisson m’avait attaché ma
chemise à mon corset, en la relevant jusqu’à
sous mes bras) et son doigt se plaçant
à l’entrée du temple des plaisirs, j’éprouvai
bientôt un chatouillement et un plaisir
qu’il me serait difficile à définir. Quant à
mon jeune étudiant, je le voyais se mourir
de volupté sous les pollutions de ma main,
exercée à ce doux jeu. Bientôt je ne pus
plus durer à côté du lit, et je me jetai dans
les bras amoureux de mon jeune amant, où
je ne tardai pas à trouver d’indicibles
jouissances. Oh ! le polisson ! Quelles aimables
roueries il sut mettre en œuvre !
Mes cuisses, mes tétons, ma bouche, mes
aisselles, mes jarrets, tout fut pour lui
autel à sacrifier, et je ne sortis de chez lui,
qu’impregnée de semence des pieds à la
tête. Non, de ma vie je n’eus autant de
plaisir que ce jour-là, et depuis, quand
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