Page:Les Amours de garnison, 1831.djvu/14

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mais vous savez que j’ai des raisons pour ne pas l’écouter, et encore plus pour ne pas y répondre, et elle se leva. Le comte en fit autant, en s’écriant : Vous me désespérez. Elle avait le teint très animé, ses yeux brillaient d’un feu qui annonçait le désir. En homme adroit, il sut profiter du moment, il la prit dans ses bras, lui donna un baiser sur la bouche, et la portant sur un canapé, qui se trouvait là, malgré la résistance qu’elle pouvait opposer, il se trouva placé avantageusement, d’une main il leva une robe légère, de l’autre il lâcha son vit, et l’instant d’après il avait pris possession du con de la dame, qui s’écriait d’une voix entrecoupée et en soupirant : Finissez donc, monsieur, c’est… c’est… af… freux, et il finissait : notre couple amoureux déchargeait.

Lorsqu’ils eurent bien savouré tous les plaisirs de la jouissance, la dame repoussa bien doucement son fouteur, et ajouta : Retirez-vous donc, monsieur, voulez-vous qu’on nous surprenne. — Non, ce