resta là, et madame de Lafo… prenant le
bras de madame Dejo...., lui dit : Allons
faire un tour de jardin. Plusieurs personnes
et j’en faisais partie, demandèrent si
on pouvait les accompagner ; elles répondirent,
en riant : Non, messieurs,
nous voulons être seules. Elles sortirent,
et de Til.. se rapprochant de moi, me
dit : Ma foi, j’ai parlé de ma bonne fortune,
il paraît qu’elle en a été instruite.
Elle se fâche, tant pis ; tant mieux, je
m’en consolerai avec une autre.
Je répondis, c’est le parti qu’il faut prendre. — Ce que je trouve de désagréable, c’est que je comptais sur un rendez-vous pour ce soir ; tout est dérangé, je n’en ai pas d’autres. Allons, je ferai Four ce soir, à moins qu’il ne me tombe sous la main quelque désœuvrée ; j’ai envie de me rapprocher de la petite, lorsqu’ elle va rentrer. Je ne dis mot, et je me promis de le laisser faire, pour être témoin de son désappointement.
Les deux dames ne tardèrent pas à rentrer, madame de Lafo… passa dans son