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Page:Les Amours de garnison, 1831.djvu/77

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désirs, et pour les satisfaire on s’égare dans une autre route. C’est ainsi que nous gamahuchons les femmes, et qu’elles nous sucent le vit, en nous chatouillant le prépuce avec la langue ; mais il faut bien aimer et bien connaître un homme, et une femme pour se livrer à ces sortes de plaisirs.

Nous te procurerons le plaisir de te super ton beau vit, la première fois que nous nous trouverons ensemble, ou si tu le veux, viens, je vais emboucher la flûte, dit madame Dejo.... — Non, mon ange, ce sera pour une autre fois, il faut user de tout et n’abuser de rien.

Voilà de la philosophie, dirent les deux aimables femmes. Il est tard, il faut nous quitter, reprit madame de Lafo…, si mon mari n’était pas de retour, nous aurions pu passer encore la nuit ensemble ; mais il n’y faut pas songer.

Allons, partons, nous nous embrassâmes, et je conduisis madame Dejo.... chez elle. Couche avec moi, me dit-elle, mon mari est absent. — Non, ma belle