Page:Les Braves Gens.djvu/303

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
291
LES BRAVES GENS.

bien en sûreté dans la cachette où on l’avait mis, et qu’il restait confié aux soins de Marthe, Mme Defert, malgré son désir de rester près de lui, songea qu’on le pleurait encore à Châtillon ; elle eut hâte de partir pour porter aux siens la bonne nouvelle.