Page:Les Folies amoureuses d’une impératrice ; Catéchisme libertin, 1900.djvu/35

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c’est bon ! gave-toi de mon sperme, remplis-t-en. Ah ! maintenant cesse, tu me ferais crier.

Marie, docile, se releva, la bouche encore pleine.

— Maintenant, lui dit l’Impératrice, toujours étendue sur le dos, fais-moi une langue, repasse-moi ce qui te reste de mon foutre dans la bouche, que je l’avale à mon tour, j’ai soif !

La camériste se jeta sur l’Impératrice, et lui saisissant rageusement la tête, appuya ses lèvres sur les siennes, puis dans une étreinte folle, lui repassa le sperme désiré.

— Ah ! ma mignonne, fit l’Impératrice après avoir avalé, si maintenant tu avais une pine, une pine comme celle d’un de mes cousins qui me dépucela certain soir, comme tu me ferais jouir encore. C’est ce qui manque, vois-tu, après un bon gougnottage. Ah ! une pine, une belle pine, que ne donnerais-je pour la posséder en ce moment !

Brusquement, elle repoussa Marie, et se redressant, les joues empourprées, l’œil enflammé, plus belle que jamais dans sa