Page:Les Folies amoureuses d’une impératrice ; Catéchisme libertin, 1900.djvu/34

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prépare, l’imbécile, il n’arrive pas ; moi, je ne puis l’attendre. Voyons, Marie, ta langue, ta langue !

La camériste alors se dévoua, d’autant mieux que la chose ne lui était pas désagréable.

Elle prit donc le bouton de l’Impératrice entre ses lèvres, et, de sa langue, le chatouilla, comme savent seules chatouiller les femmes.

— Oh ! ma mignonne, mon ange, ma petite gougnotte adorée, c’est un velours que ta langue. Ah ! ne te retire pas quand je jouirai.

— Non, non, Majesté.

— Là, reste où tu es maintenant, ne change pas le mouvement, je… je… ah ! je meurs, je meurs.

Et Marie sentit le bouton s’ouvrir pendant que les cuisses se raidissaient, et plusieurs jets d’un liquide peu épais, mais moins clair que de l’urine, pénétraient dans sa bouche.

— Avale, avale, gémissait l’Impératrice, continue ; quand je jouis, moi, ça dure cinq minutes et je décharge toujours. Ah, que