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LES MILLE ET UNE NUITS,

lence ; et la nuit suivante, elle reprit ainsi son discours :


Note du Traducteur. La cent et unième et la cent deuxième Nuits sont employées dans l’original à la description de sept robes et de sept parures différentes, dont la fille du visir Schemseddin Mohammed changea au son des instrumens. Comme cette description ne m’a point paru agréable, et que d’ailleurs elle est accompagnée de vers, qui ont, à la vérité, leur beauté en arabe, mais que les Français ne pourroient goûter, je n’ai pas jugé à propos de traduire ces deux Nuits.