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LES MILLE ET UNE NUITS, etc.
il le tenoit au milieu de la main[1], un oiseau fondit de l’air tout-à-coup et le lui enleva…
Le jour se faisoit déjà voir, dans le temps que la sultane Scheherazade en étoit à ces dernières paroles. Elle s’en aperçut et cessa de parler. Elle reprit le même conte la nuit suivante, et dit au sultan Schahriar :
FIN DU TOME TROISIÈME.
- ↑ Il y a, dans le roman de Pierre de Provence et de la belle Maguelone, une aventure semblable, qui a été prise de celle-ci.