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CONTES ARABES.

que la princesse Parizade portoit devant elle, dont ils admirèrent le chant, qui attiroit tous les autres oiseaux : ils suivoient en se posant sur les arbres dans la campagne, et sur les toits des maisons dans les rues de la ville.

Les princes Bahman et Perviz, avec la princesse Parizade, furent enfin amenés au palais avec cette pompe ; et le soir la pompe fut suivie de grandes illuminations et de grandes réjouissances, tant au palais que dans toute la ville, lesquelles furent continuées plusieurs jours.

FIN DU TOME SEPTIÈME.