Page:Les Mille et Une Nuits, trad. Galland, Le Normant, 1806, VIII.djvu/15

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DU TRADUCTEUR.

bidpaï, l’Histoire des dix Visirs, etc. Les premières parties renferment d’abord les mêmes histoire que les trois volumes manuscrits qui ont appartenu à M. Galland ; les histoires qui viennent ensuite, se retrouvent plus complètes dans les trois manuscrits dont je vais parler[1].

M. de ***, savant orientaliste a fait venir d’Égypte, en 1804, lorsqu’il étoit à Constantinople, un manuscrits des Mille et une Nuits très-complet, dont il a envoyé la

  1. Je ne dis rien d’un troisième exemplaire des Mille et une Nuits, en arabe, de l’écriture de M. Chavis, qui se trouve à la Bibliothèque Impériale, parce qu’il a été principalement copié sur les trois manuscrits de M. Galland.