Page:Les Progrès du libertinage, 1793.djvu/27

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d’une langue voluptueuse, nous savions fixer le plaisir ; ma main comprimoit fortement l’asyle heureux de l’amour ; sœur Brigitte, par un mouvement lascif et voluptueux, élevoit les fesses, et donnoit à Grand-pine le spectacle ravissant d’un postérieur appétissant, qui sembloit lui reprocher son inaction ; aussi il ne pouvoit plus se contenir ; sa pine écumante de rage, se portoit vers cette région, et d’un coup vigoureux et sec il logeoit six pouces de son membre dans le cul de sœur Brigitte, qui m’embrassoit plus étroitement. Nos trois corps sembloient réunis en un seul, et chacun de nous hâtoit le moment heureux qui devoit nous faire partager le même plaisir. On entendoit balbutier quelques mots, d’une parole coupée par la volupté… baise… baise… chere amie… Pousse