Aller au contenu

Page:Les Veillées du couvent, ou le Noviciat d’amour, 5793 (1793).djvu/104

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
98
Les veillées

Nous verrons dans le livre suivant de quelle manière l’Amour et la Providence s’y prendront pour combler les desirs de nos aimables pensionnaires. Car Colin, le Pater, et moi une fois exceptés, je crois qu’il faut un miracle pour leur faire rencontrer ce qu’elles cherchent.

Prairies charmantes, rives riantes et fleuries de l’Aronde, vallons délicieux et frais de M.... H.... c’est à cette scène voluptueuse, et à l’amour dont m’enivrait la brûlante F.... que vous devez mon hommage.