seules dans son boudoir, d’une main leste, elle m’enlève mon chapeau, fait voler les boutons du corsage, défait la ceinture de mes jupes, qui s’écroulent en rond à mes pieds, et me jette sur un divan ; et là, sans mot dire, elle s’agenouille, d’un doigt léger elle met le bouton au point.
— Oh, non, lui dis-je, pas le doigt.
— Mais qu’as-tu donc fait à ton bouton ? on dirait qu’il saigne, laisse-moi l’essuyer.
Elle prend alors dans un grand sachet un petit mouchoir, garni de Valenciennes, et se met à caresser lascivement cette chair en érection. Loin de la calmer, ce contact chéri ne fait que l’augmenter.
— Oh ! je t’en prie, pas ça maintenant.
Elle m’a compris, et, délicieusement, elle promène sa langue d’amour sur ma vulve enflammée ; c’est d’abord une douce lécherie sur toute la surface, puis c’est