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un frétillement léger, partant de l’entrée du temple, remontant comme un trembleur, jusque sur le bouton, qui se raidit sous cette caresse enchantée.

Enveloppant de sa langue le petit bec d’amour, qui frémit sous cette savante succion, elle le roule comme un fondant entre ses lèvres de feu, elle le suce, elle l’aspire ; pour achever et compléter ma jouissance, elle s’empare de son essaye gant, qu’elle enfonce dans mon vagin comme une queue raide, et, plongeant dans mon anus un de ses doigts, elle reprend mon bouton dans ses lèvres de goule, elle me broute avec rage, me baise avec furie, et m’encule avec frénésie.... Ce triple mouvement acheva de m’anéantir, ce fut pour moi du délire, je lui crachais ma jouissance sur les lèvres, pendant que je lui pissais, et laissais échapper dans sa main, des excréments de toute nature....