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Pendant toute cette manœuvre, mon doigt n’était pas resté inactif ; je l’avais introduit tout doucement dans le cul de mon amour, et, le faisant jouer avec habilité, j’avais provoqué une dilatation de l’orifice anal.

— Cochon ! soupire-t-il, Dieu ! que c’est.... bon !

— Ce n’est pas tout, chéri.

Je lui soulève ses cuisses, je plonge ma langue ardente dans le trou de son délicieux cul, et, bientôt, j’en sentis les effets, son dard ragaillardi me tapotant sur le front ; je le resuce, je le rends comme le fer d’Achille, et, sans cesser de mordiller, de faire courir ma langue, je laisse tomber mon pantalon, je m’humecte le trou des fesses d’une abondante salive, pendant que mon autre main a repris l’office de mes lèvres.

— Que fais-tu ?

  Le Fétichisme
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