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— Je veux que tu m’encules, tu es mon petit mari, je suis ta maîtresse, tu vas me baiser, mignon.... dis ?

— Ah ! ah !

— Veux-tu ?… dis ?

— Oui !

Je lui épargne toute fatigue, je me mets en crapaud sur le lit, et je place son engin entre mes fesses, ivres de luxure.

La salive aidant, la fermeté de son membre ne se démentant pas, je sens bientôt sa queue toute entière en moi. Oh ! quel délire ! je me trémousse, je le serre ; c’est chaud ! c’est bon ! Soudain il pousse un cri, ses yeux vacillent.

— Jouis, mon ange ! jouis bien !

Je me retire doucement, le cul dégouttant de sperme, et ma bouche reçoit de cette queue mourante, les dernières gouttes de la rosée céleste !