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Page:Les vacances au château – Le fétichisme en amour, 1907.djvu/184

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Il devint fou de délire, nous nous embrassions, mêlant nos langues, les promenant jusqu’au fond de notre bouche.

— Je t’aime, me dit-il, en rompant le premier le silence, je veux que tu sois heureux avec moi, je veux être, moi aussi, ta petite femme.

C’est là que se dressait la difficulté ; j’avais déjà déchargé une fois le long de mes cuisses, et je mourais d’envie de prendre la virginité de cet enfant, dont mes caresses étaient le premier contact masculin ; mais jamais l’introduction ne pourrait se faire ; je le lui fais comprendre.

— Non, non, je te veux, dussé-je en mourir.

Oh !.... ce fut horrible, un vrai martyre. Nous mîmes de l’huile, qui se trouvait sur la table à toilette, puis de la pommade, pour ramollir les chairs —