CHAPITRE VI.
De l’étude que nous avons faite résultent les conclusions suivantes :
Nous devons, par les moyens qui sont à notre disposition, favoriser la multiplication des oiseaux de telle sorte : 1o que tous les bienfaits de l’élimination, et par cela même de la production, nous soient assurés ; 2o et que partout et toujours les mystérieux enseignements de la nature puissent se refléter dans la grâce, la beauté et le chant de ces êtres merveilleux.
Il ne faut considérer comme gibier que le plus petit nombre des oiseaux.
Quelques espèces seulement doivent être surveillées et traitées comme nuisibles.
Ce sont là autant de vérités qui nous semblent incontestables.
Et cependant elles sont quelquefois contestées.
Nous croyons avoir fourni soit implicitement, soit explicitement, dans ce présent ouvrage et dans d’autres, la réfutation des objections dont elles sont l’objet ; nous voulons seulement ajouter ici quelques mots.